Coup d'État contre la Grande Muette?! ( e press)

PressTV Français 72 views
Une cinquantaine de soldats de l'armée française ayant affiché ouvertement des convictions néonazies, les autorités militaires ont décidé de réagir et un militaire a déjà été renvoyé de son régiment. Il a été filmé en train d'effectuer un salut nazi.

Au sommaire :

1- La guerre économique US a raté son objectif 

Le président Hassan Rohani a déclaré que Nowruz, qui marque le premier jour du printemps et le début du Nouvel An iranien, est le signe avant-coureur de jours meilleurs pour le développement et la prospérité.

Dans son message de Nowruz de samedi, le président iranien a félicité la nation iranienne pour le début de la nouvelle année, en particulier le personnel de santé qui se bat contre la pandémie de COVID-19.

Le président a déclaré que l'hiver des épreuves et des souffrances touchait à sa fin et que la voie du développement était ouverte.

« La brise de Nowruz de cette année promet le début d’une saison de prospérité, de victoire et de progrès pour la nation iranienne. Par la grâce de Dieu, grâce à la patience et à la résistance [de la nation], tout a été préparé pour une période pleine de prospérité et de construction pour les Iraniens. »

Faisant référence au terrorisme économique américain contre la nation iranienne, M. Rohani a déclaré: « Trois ans de guerre économique brutale et oppressive contre la nation iranienne; une guerre qu'aucune autre nation n'a connue dans son histoire contemporaine se terminera par la résistance de la nation. »

« En plus de la gravité de la guerre économique, la nation iranienne, comme d'autres nations, a été confrontée à un virus dangereux qui a doublé la difficulté des sanctions et de la guerre économique pour les Iraniens.

La nation iranienne est entrée dans la bataille contre la pandémie, non seulement privée de l'aide mondiale habituelle, mais également sans accès à ses propres actifs dans les banques étrangères », a déclaré le président.

 

2- Coup de force US/Israël contre la Grande Muette !

Ce coup-là, l’axe US/sioniste l'a déjà fait aux Allemands quand, prétextant la présence des cellules "néonazies" au sein de l'armée allemande il a obtenu leur dissolution, une dissolution qui a touché en plein fouet des unités spéciales de cette armée. Visiblement, c'est au tour de l'armée française dont une partie importante n'entend pas suivre les politiques anti-russe, anti-chinoise et anti-Résistance des Yankees.

Dans une récente lettre cette partie a d'ailleurs réagi à l'étude 2030 de l'OTAN en rejetant de voir à travers la Russie une menace et en affirmant surtout que la menace contre la France est le terrorisme signé Arabie saoudite et Turquie soit deux alliés des États-Unis. Or, une telle voix devra être rapidement étouffée! Et c'est Médiapart le média sioniste par excellence qui emballe le mécanisme :

Après qu'une enquête de Mediapart affirmant qu'une cinquantaine de soldats de l'armée française avaient affiché ouvertement des convictions néonazies, les autorités militaires ont décidé de réagir et un militaire a déjà été renvoyé de son régiment. L'AFP a appris le 18 mars auprès du commandant de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère (DBLE), implantée dans le camp militaire du Larzac (Aveyron), qu'un légionnaire a été renvoyé, après que celui-ci a été filmé en train d'effectuer un salut nazi. « Ils se sont effectivement déroulés chez nous le 6 mars », a précisé à l'agence de presse le colonel Pierre-Henry Aubry. « Dans mon régiment, il n'y a pas d'autres cas de ce genre. Les autres garçons qui apparaissent dans la vidéo sont des étrangers qui ne comprenaient pas ce qui se passait », a-t-il affirmé.

Qualifiant de « très graves » les « éléments soulevés » dans cette enquête, le ministère des Armées a assuré qu’« aucune idéologie contraire aux valeurs de la République n'est tolérée» dans ses rangs. La ministre des Armées, Florence Parly, a également condamné « fermement », dans un communiqué, « toutes les expressions d’une idéologie haineuse et barbare ». « Elles n’ont pas leur place dans nos armées », a-t-elle ajouté.

 

3- Nucléaire : le coup secret US contre l'OTAN?

On apprend que des experts de la Fédération des Scientifiques américains Hans Kristensen et Matt Korda écrivent que les États-Unis ont considérablement réduit le nombre de leurs bombes nucléaires en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Turquie au cours des dernières années. Il n’y a plus 150 armes nucléaires, mais une centaine de bombes nucléaires de type B61 stationnées en Europe dans le cadre de la participation nucléaire de l’OTAN. Washington a apparemment retiré un tiers des armes nucléaires américaines stationnées en Europe.

L’absence de réponses politiques au désarmement montre aujourd’hui que les armes nucléaires américaines ont perdu leur importance politique et militaire en Europe. « Un retrait aussi important des armes nucléaires aurait fait la une des journaux pendant la Guerre froide. Le silence entourant cette réduction est stupéfiant », raconte un expert en sécurité.

Signification. Cette réduction considérable des armes nucléaires américaines en Europe, sans que cela ne soit commenté à Berlin ou clairement discuté à Bruxelles, permet de tirer quatre conclusions sur l’importance politique et militaire des armes américaines stationnées en Europe. « Dans un premier temps, les armes nucléaires stationnées en Europe sont moins importantes pour la cohésion de l’OTAN qu’elles ne le sont habituellement.

Deuxièmement, la politique concernant les armes nucléaires de l’OTAN est de plus en plus élaborée dans le champ secret », martèle l’invité du Zeit. « Les décisions sont désormais prises par des organes qui se réunissent secrètement à Bruxelles ou simplement annoncées depuis Washington », explique Oliver Meier, envisageant aussi « un manque d’intérêt politique », tout en relatant que le gouvernement allemand « lance des enquêtes parlementaires inoffensives du Bundestag en raison des règles du secret de l’OTAN » et de conclure que « la transparence et la participation démocratique en matière de dissuasion nucléaire ne sont apparemment pas souhaitables ».

Troisièmement, la valeur des armes stationnées en Europe comme monnaie d’échange dans les négociations sur le contrôle des armements avec la Russie est apparemment limitée car une grande partie des armes est partie sans que Moscou ait à fournir quoi que ce soit en retour ou même qu’on lui demande de le faire.

Quatrièmement, les armes américaines stationnées en Europe présentent un risque pour la sécurité. Prenant l’exemple de la Turquie, membre de l’OTAN, on comprend que Washington vise une stratégie différente au sein de l’OTAN, regardant avec défiance ces alliés que cela soit la Turquie et même aujourd’hui l’Allemagne principalement.

Source : Réseau international.

 

4- Et MBS pour Biden, est-il un "tueur"?

Biden pourrait-il qualifier de « tueur » le prince héritier saoudien?

Après que le Président Biden a qualifié son homologue russe de « tueur », Sputnik a interrogé des experts américains pour savoir pourquoi il ne disait rien au sujet du prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, alors que le renseignement US affirme que celui-ci a approuvé en personne un projet « pour capturer ou tuer » le journaliste Khashoggi.

Il est peu probable que le Président américain Joe Biden punisse ou qualifie de « tueur » le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, dans le cadre de l'affaire du journaliste saoudien Jamal Khashoggi parce que cela signifierait nuire aux intérêts de Washington, y compris aux ventes d'armes américaines à Riyad, a déclaré à Sputnik un ancien membre des services de sécurité et de renseignement américains.

Dans une interview à la chaîne ABC, Joe Biden a rappelé que les États-Unis avaient annoncé des sanctions contre tous ceux qui étaient impliqués dans l'assassinat du journaliste, mais pas contre le prince lui-même parce que lorsque Washington a « une alliance avec un pays », il n’en punit jamais le dirigeant. Le Président américain a en outre rappelé l’existence d’une « liste des choses que nous [les États-Unis, NDLR] attendons des Saoudiens ».

« Je suis certain que la première chose sur cette liste est de continuer à nous acheter des armes pour des milliards de dollars », a affirmé à Sputnik l'ancien analyste du Pentagone Pierre Sprey.

Le colonel à la retraite Doug McGregor, ancien conseiller du Pentagone sous l’administration Trump, estime pour sa part que Joe Biden ne qualifie pas le prince saoudien de tueur parce qu'il n'y est pas autorisé. « Ses assistants ne lui ont pas dit d’accuser le prince héritier d'Arabie saoudite », a-t-il indiqué.

Raymond McGovern, ex-analyste de la CIA, a déclaré à Sputnik que les propos de Joe Biden sur Vladimir Poutine sont une première dans les relations entre des superpuissances. Selon lui, une nouvelle période d’« échange de piques» commence dans les rapports bilatéraux. Chas W.Freeman, ancien ambassadeur des États-Unis en Arabie saoudite, croit de son côté que «ce n'est pas la première remarque inappropriée dans la longue histoire de la logorrhée de Biden, ce flux incontrôlé de paroles».

À la question du présentateur d’ABC News de savoir s'il considérait Vladimir Poutine comme un « tueur », Joe Biden avait répondu par l’affirmative.

Selon un rapport du Bureau du directeur du renseignement national, c’est le prince Mohammed ben Salmane en personne qui avait approuvé un projet « pour capturer ou tuer » Jamal Khashoggi. Dans ce contexte, Joe Biden a déclaré à ABC avoir « clairement indiqué » au roi d’Arabie saoudite « que les choses allaient changer ». Les autorités saoudiennes ont rejeté les conclusions du rapport, qualifiant ce dernier de « faux » et ont affirmé avoir pris les mesures nécessaires contre ceux qui ont commis le crime.

Jamal Khashoggi a été assassiné en octobre 2018 au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul où il était venu chercher un document. Dans un premier temps, les autorités saoudiennes ont nié sa disparition au sein de la mission diplomatique, mais après que des enregistrements vidéo et audio ont fait surface, elles ont été obligées d'avouer que le journaliste avait été tué « à la suite d'une altercation avec des employés consulaires ». La police turque n'a jamais pu retrouver son corps.

Le Président russe avait précédemment commenté les propos de Joe Biden, en lui souhaitant une bonne santé et en rappelant qu'évaluer d'autres personnes, c'était comme se regarder dans un miroir. Il a également proposé à son homologue américain de « poursuivre [leurs] discussions » vendredi ou lundi. Joe Biden s’est déclaré dès vendredi certain qu’il s’entretiendrait avec Vladimir Poutine « à un moment donné ».

Source : Sputnik

 

5- Russie : l'afflux de navires de guerre US en mer Noire

Un autre bateau de guerre US entre en mer Noire, la Marine russe le suit de près

La Flotte de la mer Noire surveille les déplacements du destroyer USS Thomas Hudner qui est capable d’embarquer une centaine de missiles de croisière Tomahawk. Il s’agit du deuxième navire de guerre américain à entrer dans cette zone au cours des dernières 24 heures.

Après le croiseur lance-missiles, USS Monterey qui était entré la veille en mer Noire, c’est le destroyer USS Thomas Hudner qui a suivi son sillage ce samedi 20 mars dans le cadre d’« une opération de routine» pour soutenir des alliés et des partenaires de l'OTAN, a annoncé la Marine américaine.

De son côté, la Flotte de la mer Noire a déclaré que ses forces avaient commencé à surveiller l’USS Thomas Hudner tout comme elles contrôlent les déplacements de l’USS Monterey.

« L’USS Thomas Hudner est un destroyer de classe Arleigh Burke qui peut transporter dans le système de lancement vertical jusqu'à 96 missiles de croisière Tomahawk ou des antimissiles Standard. L’USS Monterey, de classe Ticonderoga, est capable de transporter jusqu'à 122 missiles de croisière Tomahawk ou d’antimissiles Standard », précise la flotte russe.

L’OTAN explique sa présence en mer Noire

Mercredi 17 mars le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg, a déclaré que la présence croissante de l’OTAN en mer Noire était due «au renforcement » de la Russie dans cette région.

Ces derniers temps, la Russie constate l’activité sans précédent de l’Alliance à proximité de ses frontières occidentales. Ainsi le 25 février, les chasseurs de mines espagnol et grec, Tajo et Evropi étaient entrés en mer Noire, suivis, le 17 mars, par la frégate espagnole Mendez Nunez. Début février, deux destroyers américains, l’USS Donald Cook et l’USS Porter, ont quitté les eaux de la mer Noire où ils avaient participé à des manœuvres militaires.

La Russie a plusieurs fois exprimé sa préoccupation face à ces activités de l’Alliance en Europe de l'Est. Le porte-parole du Président russe, Dmitri Peskov, a récemment déclaré que la Russie ne menaçait personne, mais qu’elle ne laisserait pas sans réponse ce qui pourrait mettre ses intérêts en danger.

Source: Sputnik

Add Comments