E-Press du 1er février 2022
Ukraine : Soros arrêté en Hongrie ! (e-Press)
◾ En Hongrie, la locomotive du train complotiste qui porte la marque de #Soros, dont la mission est la sionisation de toute la planète terre et ce depuis l'Europe occidentale, au départ de l'Allemagne, s'est grippée : le ministre de la Défense hongrois a exprimé son opposition au renforcement de l’OTAN sur son territoire dans le cadre des tensions entourant l’#Ukraine.
▶ Au sommaire
1- Au Royaume d'Elizabeth II le ridicule ne tue pas !
2- Macon: les Français se feront avoir encore?
3- Ukraine: le non de la Hongrie à l'OTAN
4- Ukraine: Biden aura sa guerre?
5- USA/Russie: la guerre nucléaire, proche?
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1-Au Royaume d'Elizabeth II le ridicule ne tue pas !
Le gouvernement britannique a annoncé lundi 31 janvier dans un communiqué qu'il avait retiré les noms de quatre Iraniens de la liste des sanctions. Trois de ces personnes sont décédées.
Le Bureau des sanctions financières du Département du Trésor a déclaré dans un communiqué que le ministère des Affaires étrangères avait mis à jour sa liste de sanctions gouvernementales le 28 janvier.
Le communiqué ajoute que les quatre personnes suivantes ont été retirées de la liste des sanctions et ne feront plus l'objet de confiscation de biens : 1- Ahmad Zargar 2- Hassan Haddad 3- Mohammad Hejazi et 4- Seyed Hassan Firoozabadi.
M. Haddad, M. Hejazi et M. Firoozabadi sont morts de cette liste. Tous ont été placés sur une liste de sanctions britanniques pour leurs allégations de "droits de l'homme".
Les rapports occidentaux sur les droits de l'homme ont été critiqués pour leur méthodologie incorrecte, leurs doubles standards, leur parti pris et leur mépris du principe de neutralité, leur mépris de la culture et des modes de vie indigènes d'autres communautés et leur ingérence dans les affaires intérieures des pays.
La Grande-Bretagne place d'autres pays sur la liste des sanctions pour des allégations de droits de l'homme, citant des violations des droits des minorités, la promotion de l'islamophobie, la discrimination économique et sociale, la situation des prisonniers, l'atteinte à la souveraineté et à l'indépendance des pays et l'ingérence dans les affaires intérieures de d'autres pays. Il y a de sérieuses critiques à l'encontre des questions relatives aux droits de l'homme.
Source : Fars news
2-Macon: les Françaises se feront avoir encore?
Des détails font surface sur des dîners de donateurs finançant la campagne du non candidat Macron
Site Internet, milliers d’affiches de soutien placardés, mais aussi fonds en train d’être récoltés. Europe 1 a divulgué des détails sur la collecte de donations destinée à financer la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron en cours depuis des mois, alors qu’il temporise à officialiser sa candidature.
La campagne présidentielle d’Emmanuel Macron débute déjà bien qu’elle taise son nom. Europe 1 a ainsi relayé le 31 janvier certains détails concernant l’organisation de dîners de donateurs, moyen pour la financer.
Comme le précise la radio, les Marcheurs suivent la même recette qu’en 2017 afin de récolter des fonds, soit des dîners rassemblant de riches donateurs.
De la sorte, poursuit Europe 1, des repas sont organisés le soir en semaine dans des appartements privés de la capitale, ainsi que de l’ouest parisien. Et d’ajouter qu’ils se sont multipliés ces dernières semaines avec la participation de certains ministres et secrétaires d’État.
Un poids lourd du gouvernement a confirmé à la radio avoir participé à deux rencontres de ce genre la semaine dernière. Un autre membre du gouvernement a confié avoir levé 175.000 euros en l’espace d’une soirée.
Toujours selon les informations relayées par Europe 1, le seuil maximal autorisé de donation est de 7.500 euros par personne pour les membres du parti, plus 4.600 euros pour le candidat.
Répétition de scénario
Il est en outre précisé que le cérémonial de ces rendez-vous nocturnes est souvent organisé par Christian Dargnat. Ce qui n’est pas un hasard, puisque cet ancien banquier d’affaires avait déjà travaillé à la levée des fonds de la campagne du candidat Macron en 2017.
Déjà en automne 2021, des médias tels que Le Parisien et Le Journal du Dimanche avaient relaté que LREM s’était lancée dans la réactivation des financeurs de la campagne de 2017, avec pour objectif cinq millions d’euros. Une entreprise notamment mise en place par M.Dragnat, ancien directeur général de BNP Paribas Asset Management, mais aussi ex-président de l’Association européenne de la gestion d’actifs.
"Candidat masqué"
"À quoi ressemblerait ce débat de premier tour? 12 candidats cherchant pendant 1h50 leur 'moment' avec le président, qui aurait 10 minutes pour leur répondre", a indiqué, sur un ton sceptique, Gabriel Attal le 29 janvier dans un entretien au Parisien.
Si l’entourage du Président sortant ne voit pas l’intérêt pour lui de participer aux débats du premier tour, les candidats insistent.
"Il doit rendre compte de son bilan qui est calamiteux, de l'état de notre école, de l'état de notre hôpital, de l'état de notre justice, de la violence qui monte dans les rues, de l'immigration qui est incontrôlée", a appuyé Valérie Pécresse, candidate de la droite, dans l’émission Dimanche en politique sur France 3.
Demandant "solennellement un débat avec Emmanuel Macron", la présidente de la région Île-de-France a espéré "qu’il [allait] accepter".
Le président par intérim du Rassemblement national, Jordan Bardella, est du même avis. Pointant "le manque de respect pour les Français" et "un manque de considération pour la démocratie", il a estimé que le Président sortant "reste caché"
"Le Président ne pourra pas se cacher éternellement comme un candidat masqué", a jugé pour sa part le président (LR) du Sénat, Gérard Larcher.
Si le nouveau site avecvous2022.fr a été lancé depuis quelques jours, le nom d’Emmanuel Macron n’y apparaît nullement. Or, ce même slogan, "Avec vous", est actuellement largement employé par les Marcheurs, le hashtag étant massivement relayé sur les réseaux sociaux.
Il est aussi apparu sur les affiches placardées dans la nuit du 26 au 27 janvier dans 16 grandes villes.☀️ Ce matin, nous sommes #avecvous au marché de la Ronde-Couture à Charleville-Mézières.
Merci aux @jeunesmacron08 et aux militants de la majorité pour leur mobilisation. #Macron2022 pic.twitter.com/nmdwoSCC2r — Ambroise Méjean (@Ambroise_Mejean) January 30, 2022
Un autre point dénoncé par les opposants, alors que la présidentielle démarre dans quelques semaines, est le fait qu’Emmanuel Macron a déjà reçu les parrainages de plusieurs parlementaires et élus locaux.
"Comment parrainer une personne qui n'est pas officiellement candidat? C'est donc qu'il l'est... et il détourne ainsi les règles démocratiques du débat (temps de parole, financement public, etc.) Est-ce tolérable?" a commenté l’Insoumis Alexis Corbière.
Source : Sputnik
3-Ukraine: le non de la Hongrie à l'OTAN
En Hongrie, la locomotive du train complotiste qui porte la marque de Soros, dont la mission est la sionisation de toute la planète terre et ce depuis l'Europe occidentale, au départ de l'Allemagne, s'est grippée
L'Allemagne, autrefois germanique et donc fort attachée aux mœurs chrétiennes a été choisie après la Seconde Guerre mondiale en tant que tout premier atelier où George Soros a mené ses expériences d'ingénierie sociale.
Ce stratagème complotiste, désormais répandu dans le monde entier et conçu et manigancé de toutes pièces par le sioniste Soros, est désormais devenu une réalité quotidienne, comme par exemple, via l'homosexualisation de l'église autrefois chrétienne d'où le dernier enfant baptisé est le Mouvement LGBT.
C'est comme si on revivait une prostitution du Temple de Salamon, la cité divine et modèle comme aurait dit Jésus sur l'esplanade du Temple.
Bref, le ministre de la Défense hongrois a exprimé son opposition au renforcement de l’OTAN sur son territoire dans le cadre des tensions entourant l’Ukraine. Il a également confirmé l’opposition de Budapest à une éventuelle adhésion à l’Alliance de Kiev.
Dans une interview accordée le 27 janvier au média hongrois InfoRadio, le ministre de la défense magyar Tibor Benko a déclaré que son pays ne demandait pas de renforts de troupes de l’OTAN sur son territoire, et qu’il s’opposait à une adhésion de l’Ukraine à l’Alliance atlantique.
Le ministre a affirmé que les États-Unis et l’OTAN ont négocié des déploiements supplémentaires de troupes avec tous les États membres de l’Alliance limitrophes de la Russie ou de l’Ukraine. Budapest estime toutefois que sa propre armée est capable d’assurer toute la sécurité dont elle a besoin, sans l’aide des troupes de l’OTAN.
Tibor Benko s’est exprimé sur la situation en ces termes : « La Hongrie a déjà créé une telle force nationale, développé de telles capacités nationales que, dans la situation actuelle, il n’est pas nécessaire de compter sur d’autres forces et troupes étrangères […] Nous ne considérons pas qu’il soit approprié – et nous ne demandons pas – que des renforts de l’OTAN soient déployés ici. Nous pouvons nous en charger ».
Le 28 janvier, le président américain Joe Biden avait déclaré à des journalistes qu’il comptait envoyer « prochainement » un petit nombre de militaires américains en Europe de l’Est.
Ces déclarations s’inscrivent dans un contexte de vives tensions entre l’Occident et Moscou autour de la sécurité en Europe. Depuis plusieurs semaines, Washington et certains de ses alliés accusent la Russie d’envisager une invasion du territoire ukrainien, ce que Moscou dément catégoriquement. La Russie, de son côté, exprime ses craintes quant à sa sécurité, liée à l’extension de l’OTAN vers l’est et à la perspective de livraisons d’armements offensifs à l’Ukraine, pays voisin. Dans ce contexte, Moscou a proposé à Washington et à l’OTAN des traités prévoyant un renoncement de l’Alliance atlantique à tout élargissement à l’est et un retour à l’architecture sécuritaire construite en Europe après la fin de la guerre froide. Les Occidentaux refusent à ce jour les exigences russes, invoquant le caractère défensif de l’Alliance atlantique d’une part, et la souveraineté des Etats, devant rester libres de choisir leurs alliances, d’autre part.
Source : Réseau international
4-Ukraine: Biden aura sa guerre?
Pourquoi des soldats américains sont photographiés lance-roquettes en main en Ukraine?
Alors que Moscou négocie avec les États-Unis sur les garanties de sécurité et insiste sur le non-déploiement de militaires et d’armements à proximité de ses frontières, des soldats américains ont été vus sur un champ de tir entraîner des Ukrainiens à détruire des chars russes.
Les négociations entre la Russie et les États-Unis sur les garanties de sécurité se sont déroulées il y a une semaine et pourraient être poursuivies cette semaine.
À leur menu, les propositions sécuritaires russes qui portent notamment sur le non-déploiement de forces armées et d’armements dans les régions où cela pourrait être interprété comme une menace pour l’autre partie.
Dans le cas de la Russie, l’Ukraine est l’une de ces zones, ce qui n’empêche pas les États-Unis d’y envoyer leurs militaires.
Ces derniers ont été vus dimanche 30 janvier sur un champ de tir de Lviv, près de la frontière entre l’Ukraine et la Pologne.
Le Daily Mail a publié des photos des soldats de la Garde nationale de Floride qui entraînent les forces ukrainiennes à utiliser des lance-roquettes anti-bunker.
Des munitions pour cibler les chars russes
Selon le quotidien britannique, Washington a envoyé une centaine de ces munitions à Kiev dans le cadre de l’aide militaire destinée à dissuader une attaque russe. Environ 200 gardes sont actuellement déployés en Ukraine, où les États-Unis maintiennent une présence militaire depuis 2015.
Ils y ont également envoyé 300 missiles antichars Javelin destinés à détruire les tanks russes lesquels, selon les médias occidentaux, doivent envahir l’Ukraine du jour au lendemain.
L’Estonie va y envoyer les mêmes missiles antichars, tandis que la Lettonie et la Lituanie livreront des missiles antiaériens Stinger, américains eux aussi.
Des systèmes antichars portables ont été fournis par le Royaume-Uni. Des militaires britanniques ont également été envoyés en Ukraine pour assurer la formation des forces armées.
Moscou assure qu'aucune guerre n'est envisagée
Le 28 janvier, Sergueï Lavrov a affirmé dans une interview accordée à des radios que la Russie ne voulait pas de conflit. "Si cela dépend de la Russie, la guerre n’aura pas lieu", a-t-il indiqué.
Lors de la récente réunion des conseillers des chefs d’État et de gouvernement en format Normandie le 26 janvier à Paris, ceux-ci ont réaffirmé que les accords de Minsk étaient la base du travail même. Il convient de rappeler que ces accords prévoient le retrait de toutes les forces militaires étrangères du territoire ukrainien.
Source : Sputnik
5-USA/Russie: la guerre nucléaire, proche?
Reporter: la Russie équipera les missiles hypersoniques Zircon d'ogives nucléaires
Les derniers missiles hypersoniques russes "Zircon" seront équipés d'ogives nucléaires
Les missiles de croisière hypersoniques tactiques russes "Zirkon" seront équipés d'ogives nucléaires dans un proche avenir. Cela augmentera considérablement la puissance de cette arme. Des informations à ce sujet ont été exprimées par la publication "Reporter".
Selon le journaliste Sergei Marzhetsky, l'OTAN constitue actuellement une menace claire pour la Russie avec ses tentatives non seulement d'élargir l'Alliance en incluant l'Ukraine et la Géorgie, mais aussi en augmentant la présence de troupes près des frontières russes. Pour répondre à de telles menaces, la Russie peut facilement transformer des missiles hypersoniques Zircon en armes nucléaires, d'autant plus que le remplacement des ogives, si l'on tient compte des données non officielles, a été prévu par les développeurs russes de ce type d'armes. Selon le journaliste, les missiles hypersoniques Zircon peuvent être beaucoup plus efficaces que le même ARK Kinzhal. Cela est dû au nombre de ces missiles qui peuvent être embarqués à bord de navires de guerre, et à l'avenir, de sous-marins.
« Vous pouvez accrocher 1« poignard » sur un chasseur-intercepteur MiG-31K et le relâcher à un poste de commandement ou à un dépôt de munitions quelque part en Ukraine ou en Europe de l'Est, et un bombardier Tu-22M3 pourra prendre quatre de ces missiles à la fois. Les frégates du projet 22350 "Admiral Gorshkov" peuvent facilement tirer sur des cibles côtières avec 16 "Zircons", et dans la version 22350M - avec 48 missiles hypersoniques. Si la distance de Kaliningrad, par exemple, à Londres en ligne droite n'est que de 881 kilomètres, alors un missile nucléaire hypersonique volera certainement vers Foggy Albion et le frappera à coup sûr. Avec des "Zircons" nucléaires à bord, non seulement les SNLE, mais aussi, par exemple, les SNLE des projets 885 "Ash" et 885M "Ash-M" et les sous-marins nucléaires prometteurs "Husky" peuvent constituer un réel danger pour les États-Unis eux-mêmes », - a déclaré dans le matériel de la publication "Reporter".
Cependant, étant donné que les essais de ces armes pour les sous-marins se poursuivront au cours des prochaines années, des ogives nucléaires sur des missiles hypersoniques Zircon, si elles apparaissent, ne seront probablement que d'ici 2030.
Source : avia-pro.fr