Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, soulignant une fois de plus que l’Iran est prêt à signer un accord à Vienne, visant à rétablir l’accord multilatéral de 2015 sur le nucléaire iranien et à lever les sanctions, critique vivement la récente déclaration de trois pays européens et la qualifie de « non constructive » et « irréfléchie ».
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, soulignant une fois de plus que l’Iran est prêt à signer un accord à Vienne, visant à rétablir l’accord multilatéral de 2015 sur le nucléaire iranien et à lever les sanctions, critique vivement la récente déclaration de trois pays européens et la qualifie de « non constructive » et « irréfléchie ».
Cette déclaration intervient alors que les interactions diplomatiques et les échanges de messages entre les parties aux négociations et le coordinateur des pourparlers battent leur plein pour finaliser les négociations.
Pourquoi cette démarche « déviante », qui est loin de constituer une approche fructueuse des négociations ? À quoi sert-elle ?
Habib Tawa, analyste politique s’exprime sur le sujet.