Le ministre irakien des Affaires étrangères, Fouad Hussein, a mis en garde contre l’impact de la guerre Ukraine-Russie sur la région.
À J+4 de la méga-guerre russe contre l’empire chancelant, et alors même que les sources d’information font état de l’arrivée des premiers soldats russes à Kharkov, cette seconde ville de l’Ukraine qui compte 16 % de juifs sur une population de plus d’un million d’habitants et que la bataille se poursuit de plus belle dans la banlieue de Kiev où l’agent Zelensky semble avoir reçu l’ordre de « tenir bon » en attendant que le corridor militaire reliant l’Europe de l’Ouest à l’Ukraine y dépêche davantage d’armes, de munitions, de forces spéciales et de mercenaires US, britanniques, néerlandais, turcs, polonais, géorgiens entre autres.
De son côté, le ministre irakien des Affaires étrangères, Fouad Hussein, a mis en garde contre l’impact de la guerre Ukraine-Russie sur la région.
Le ministre irakien des Affaires étrangères a également averti que l’Irak ne peut pas tolérer une autre guerre.
Comment peut-on analyser ces déclarations ? La région du Moyen-Orient risque-t-elle une déstabilisation ?
André Chmay, juriste international s’exprime sur le sujet.