À partir du 1er juillet, l’UE devient un camp de concentration Une Europe en guerre contre ses peuples pour asseoir définitivement sa domination avant son effondrement économique programmé pour cette année, prélude au Grand Reset du dingue de Davos afin de mettre en place la monnaie numérique et le revenu universel, carotte de soumission totale de toute la classe moyenne, future classe zombie européenne.
Au sommaire :
1- "Le CGRI restera aux côtés de la Palestine"
Nous sommes aux côtés du peuple palestinien "jusqu'à l'effondrement du régime usurpateur israélien" a dit le commandant en chef du CGRI le Général Salami.
Lors d'une conversation téléphonique ce samedi avec les commandants de la Résistance palestinienne, le commandant en chef du CGRI (Corps des gardiens de la Révolution islamique d’Iran) a souligné le soutien du CGRI au peuple palestinien jusqu'à l'effondrement du régime usurpateur d'Israël. Pour leur part les dirigeants de la Résistance palestinienne ont salué les positions fermes et le soutien de République islamique d’Iran à la cause palestinienne.
Dans une conversation téléphonique séparée avec Ismail Haniyeh, chef du bureau du Mouvement de la Résistance islamique de la Palestine (Hamas), et Ziad Nakhaleh, secrétaire général du Mouvement du Jihad islamique, le commandant en chef du CGRI, le général Hossein Salami, commémorant les martyrs de la Résistance, en particulier le très haut général Haj Qasem Soleimani, et félicitant le peuple résistant et digne de la grandeur palestinien, et les braves et zélés combattants palestiniens pour cette grande victoire, a insisté sur le soutien de l’Iran à Résistance et aux Palestiniens jusqu'au déclin et l'effondrement du régime usurpateur d'Israël.
Dans cette conversation téléphonique, le général Salami a déclaré : « La défaite du régime usurpateur israélien n'était pas seulement celle des sionistes; Ce fut la défaite des États-Unis, de la Grande-Bretagne et des régimes alliés minables.
Ismail Haniyeh, chef du bureau du Mouvement de la Résistance islamique de la Palestine (Hamas), a pour sa part remercié la République islamique d'Iran pour sa position ferme et son soutien au peuple palestinien.
Toujours lors de cette conversation téléphonique, Ziad Nakhaleh, secrétaire général du Mouvement du Jihad islamique de la Palestine, a souligné que le peuple palestinien a toujours été confiant dans la réalisation de cette victoire et a été inébranlable dans cette voie :
« La République islamique de l'Iran a été à nos côtés dans tous les domaines et a honoré notre victoire », a-t-il dit.
Les militaires du régime occupant sioniste ont lancé leurs attaques et agressions barbares contre la bande de Gaza et les Palestiniens le lundi 10 mai, tuant 248 Palestiniens, parmi lesquels 66 enfants, 39 femmes et 17 personnes âgées.
Le cabinet du régime sioniste a fini par accepter le cessez-le-feu lors d'une réunion de trois heures jeudi soir après 12 jours d'incapacité à arrêter les attaques à la roquette de représailles menées par des groupes de résistance à Gaza.
Source : IRNA
2- Chine/Taïwan «au bord de la guerre »
Alors que le monde entier observe depuis plusieurs jours l’escalade des tensions au Proche-Orient, des analystes chinois mettent en garde contre un possible conflit militaire en Asie, notamment entre la Chine et Taïwan.
Mi-mai, l’Economist a qualifié Taïwan d’ « endroit le plus dangereux au monde». La revue britannique écrivait entre autres que si la septième flotte des États-Unis n’intervenait pas en cas de guerre entre Taïwan et la Chine, cette dernière deviendrait «la puissance dominante en Asie » et «la Pax Americana s’effondrerait ».
Quant à un possible date butoir de ce conflit, la revue citait l'amiral Philip S. Davidson, ex-commandant de l'United States Pacific Command, qui a déclaré au Congrès en mars que la Chine pourrait attaquer Taïwan vers 2027.
En effet, dans leur rapport publié mercredi 19 mai et cité par South China Morning Post, des analystes de la China Cross-Strait Academy estiment que les tensions dans le détroit de Taïwan ont augmenté au point que le risque de conflit armé est à «un niveau record».
Notamment, ayant analysé plusieurs facteurs dont les force militaires, les relations commerciales, l’opinion publique, les événements politiques et le soutien des alliés, les experts ont conclu que les deux parties étaient «au bord de la guerre». Pour 2021, les chercheurs évaluent à 7,21, sur une échelle de 0 à 10, l’indice du niveau de risque de conflit armé à travers le détroit.
« Si la tendance actuelle se poursuit […] l’unification de Taïwan par la force ne sera qu’une question de temps», a déclaré Lei Xiying, directeur du think tank.
Les risques de conflit au fil des années
Analysant les mêmes facteurs pour les années précédentes, les chercheurs ont établi qu’au début des années 1950, lorsque les forces nationalistes anticommunistes avaient fui le continent vers Taïwan, l'indice était à 6,7. Ensuite, une grande partie des années 1970, il a oscillé au-dessus de 6,5 mais est tombé à 4,55 en 1978, lorsque Washington a établi des relations diplomatiques officielles avec Pékin.
3- Qui contrôle le renseignement français?
Palantir est une start-up financée par la CIA et elle s’est imposée au cœur des services de renseignement français.
Le mai 23 mai 2018, une cinquantaine de patrons de géants du numérique ont été invités par Emmanuel Macron, lors d’une réunion baptisée Tech for Good. Parmi eux, figure Alexander Karp, le PDG de Palantir.
La même année le « Dolder Club », le gotha de la pharmacie mondiale, forum privé dont les échanges sont plus secrets que ceux du Bilderberg, a été aperçu lors de la réunion qui s’est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018 à l’initiative d’Emmanuel Macron. Le lendemain il participait au discours d’Édouard Philippe devant le Conseil stratégique des Industries de Santé le 10 juillet 2018.
« Dès notre arrivée, nous avons lancé des réformes ambitieuses pour que la France retrouve son attractivité et sa compétitivité en transformant en profondeur notre code du travail et notre fiscalité » ~ Discours de Édouard Philippe devant le Conseil stratégique des Industries de Santé, 10 juillet 2018
Maintenant entre Palantir et le cabinet McKinseyla la CIA est bien représentée dans notre pays.
En 2012, la CIA avait demandé à la NSA de suivre de près la campagne présidentielle française.
Pierre Jouyet (qui a pris Macron sous son aile à la sortie de l’ENA) est membre de l’institut américain Aspen. Sa division Aspen France propose un cycle de programmes dit « Leaders Politiques d’Avenir » dont font partie : Laurent WAUQUIEZ , Jérôme GUEDJ, Olivier FERRAND, Cécile DUFLOT, Najat VALLAUD-BELKACEM, Jean Vincent PLACE, et d’autres encore…Macron est l’aboutissement du programme de Pierre Jouyet qui a créé le groupe de réflexion « les Graques », composé de grands patrons et de hauts fonctionnaires qui militent pour une alliance gauche droite. En 2008, Jacques Attali et Serge Weinberg présentent Macron à François Henrot bras droit de David de Rothschild, ami de George Soros et membre de la French American Foundation. Pour parachever la traitrise générale du gouvernement, il ne manquait plus que George Soros, Palantir suivra ses ordres. Deux gros bonnets du monde de l’investissement ont récemment pris des participations dans Palantir, la grande société de données secrète et controversée, soutenue par Peter Thiel, qui a commencé ses activités à Wall Street en septembre.
« Mathématiser les comportements humains »
Aux États-Unis, Palantir travaille pour plusieurs agences de renseignement, comme la NSA, mais aussi le FBI, certains secrétariats d’État comme celui la Défense, de de la Justice, ou encore plusieurs polices locales, notamment à Los Angeles ou à la Nouvelle-Orléans, comme le décrit le site The Verge (article en anglais). La « police prédictive » est un marché en pleine expansion, ainsi que l’avait relevé le quotidien Le Monde en janvier 2013 (article sur abonnement). C’est un secteur dans lequel est également actif une autre société baptisée PredPol. « Derrière ces sociétés, il y a l’idée qu’on pourrait mathématiser les comportements humains grâce aux données, analyse Philippe Vion-Dury, auteur du livre La nouvelle servitude volontaire, aux éditions Fyp. C’est ce qu’on appelle le machine learning. On retrouve les mêmes techniques chez Google, Facebook, ou YouTube ».
La technologie de Palantir a également été utilisée par le Consortium international de Journalistes d’Investigation, l’ICIJ, dont Radio France est partenaire. En revanche, plusieurs grosses entreprises comme Coca Cola ou American Express ont préféré se passer de ses services, notamment en raison d’un coût trop élevé.
PayPal, le « laboratoire » de Palantir
Derrière Palantir, il y a un homme : Peter Thiel. Ce petit génie de la Silicon Valley, qui a investi très tôt dans Facebook, est un libertarien qui prône le rétrécissement du rôle de l’État. L’homme a aussi la folie des grandeurs : il veut repousser l’âge de la mort et il finance des projets de cités flottantes dans les eaux internationales, hors de la souveraineté des États. Peter Thiel s’est fait connaître en investissant avec Elon Musk, dans une autre société qui a beaucoup fait parler d’elle : PayPal, un système de paiement en ligne. « Palantir se trouvait déjà en germe à l’intérieur de PayPal, souligne l’expert en cyber sécurité Fabrice Epelboin. À l’époque, PayPal a gagné contre les banques, en s’attaquant à la fraude d’une manière très originale. Là où les banques, ses concurrents de l’époque, s’attaquaient à la fraude avec des systèmes automatisés, PayPal a introduit des opérateurs humains manipulant ces données avec des interfaces graphiques ».
Un contrat avec la DGSI, signé « dans l’urgence »
Finalement, la société Palantir ne sera pas retenue sur ces marchés publics. Mais en mai 2016, la start-up de Peter Thiel et Alex Karp décroche un contrat de 10 millions d’euros auprès de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI). « Nous étions après les attentats de 2015, rappelle Guillaume Farde de la société Risk and Co. Dans un contexte de menace extrêmement élevée, nos services avaient besoin, dans l’urgence, de capacités techniques de renseignement. Mais il n’y avait pas d’opérateur national capable de répondre à cette demande. Les services de renseignement n’avaient pas le choix ».
En réalité, la DGSI a eu le choix entre un fournisseur américain et un israélien. C’est l’option américaine qui l’a emporté. « Nous ne manquons pas de données, ni de métadonnées, mais nous manquons de systèmes pour les analyser, déclare le patron de la DGSI, Patrick Calvar, devant la Commission de la Défense de l’Assemblée nationale, le 10 mai 2016. Les entreprises françaises qui développent des systèmes ne sont pas encore capables de répondre à nos besoins, alors que nous devons acquérir ce big data immédiatement. Nos camarades européens sont dans la même situation ». À l’époque, le directeur de la DGSI parle de solution temporaire.
4- 1er juillet, l’UE devient un camp de concentration
Le passeport sanitaire devrait être officiellement mis en place à partir du 1er juillet pour circuler à nouveau entre les différents pays de l’Union.
En effet, un accord vient d’être trouvé entre eurodéputés et États membres sur le pass sanitaire qui permettra à l’aide d’un QR code d’indiquer que son titulaire a bien été vacciné, qu’il a passé un test négatif, ou encore qu’il est immunisé après avoir été infecté par le Covid-19.1
Il ne faut pas se leurrer : cet « ausweis »2européen n’est rien d’autre qu’une permission de sortie de la prison européenne à ciel ouvert pour pouvoir à nouveau circuler entre les différents pays européens.
Il entérine ainsi la création d’Alpha+ et de bêta-, autrement dit, un gigantesque apartheid européen, selon qu’on aura été vacciné ou non.
Ce dispositif vient compléter tout un arsenal répressif et liberticide comme le traçage, le pistage, la géolocalisation, le flicage tous azimut, les confinements divers et variés, le port de la muselière, les couvre-feux et last but not least3, la propagande des médias et la censure des réseaux sociaux.
Toute ressemblance entre ce nouveau naziland et son modèle ne serait que pure coïncidence. Alors qui donc peut encore croire qu’aujourd’hui, l’Europe c’est la paix ? Ne serait-ce pas plutôt la guerre ?
Une Europe en guerre contre ses peuples pour asseoir définitivement sa domination avant son effondrement économique programmé pour cette année, prélude au Grand Reset du dingue de Davos afin de mettre en place la monnaie numérique et le revenu universel, carotte de soumission totale de toute la classe moyenne, future classe zombie européenne.
Ce scénario de cauchemar n’empêche pas, bien au contraire, l’Euro-Kommissar Didier Reynders de comparer cet accord à l’élection d’un pape en tweetant, enthousiaste :
« Fumée blanche : nous avons un accord sur la proposition de la Commission de certificat européen Covid ».
« Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s’est-il félicité.
Source : reseauinternational.net