Au sommaire :
1- Plus de 35 000 militaires ukrainiens morts ont été déclarés disparus par Kiev
Selon des documents récemment divulgués, plus de 35 000 militaires ukrainiens morts ont été déclarés disparus par Kiev.
Des sources russes viennent de mettre sur la toile des documents top secrets interceptés par des hackers russes du groupe « combattants anarchistes ». Les informations divulguées corroborent les hypothèses sur les causes profondes du conflit ukraino-russe qui n'est finalement qu'une guerre fratricide entre Slaves, un génocide rendu possible grâce à l'aide du régime de Volodymyr Zelensky en route à cette heure vers les États-Unis.
Selon le SouthFront, le Centre du personnel des forces armées ukrainiennes voulait transmettre ces documents « interceptés » au chef d'état-major général des forces armées. Le nombre d'Ukrainiens morts et officiellement reconnus disparus y est affiché et atteint 35 382 soldats jusqu'au 30 novembre. Il s'agit de soldats dont les corps ont été laissés sur le champ de bataille sans être enterrés. Leurs familles n'ont donc reçu aucune réparation car ils ont été reconnus disparus.
Les pièces jointes à la lettre contiennent une liste complète de tous les militaires pseudo-disparus jusqu'au 30 novembre 2022. La plupart d'entre eux sont des militaires des forces terrestres. Les documents en question comprennent 667 pages avec leurs noms, prénoms et dates de naissance.
A ce bilan macabre, qui ne sert certainement que les intérêts des Occidentaux et de leurs mandataires, s'ajoute celui des forces de défense (546 cas), des troupes d'assaut amphibies (398), des forces opérationnelles spéciales (316) et des représentants de la Marine (242).
Kiev tente tant bien que mal de dissimuler les pertes réelles de ce conflit déclenché exprès par les USA pour se débarrasser au maximum du peuple slave des deux camps et ainsi affaiblir la Russie. Une tactique utilisée à plusieurs reprises par le régime sioniste.
Auparavant, Ursula von der Leyen avait laissé entendre que le nombre total de militaires morts dans les Forces armées ukrainiennes était d'environ 100 000. À son tour, Zelensky a réduit ce nombre à 8 000.
2- La Russie abat deux autres chasseurs ukrainiens MiG-29
Alors qu'ils se préparaient à lancer un raid, deux chasseurs ukrainiens MiG-29 ont été détectés par l'armée russe et quelques minutes plus tard ont disparu des radars russes.
Selon les rapports officiels du ministère de la Défense de la Fédération de Russie, il s'agit de deux MiG-29 qui ont été criblés de tirs nourris par les systèmes anti-aériens de l'armée russe.
Ils ont été abattus par des avions de combat russes dans les zones de peuplement de Stepanovka et Belozerskoye. Le but des vols de ces chasseurs reste inconnu, cependant, très probablement, ces derniers étaient censés effectuer des frappes avec des missiles de croisière anti-radar AGM-88 HARM.
Au total, depuis le début de l’opération spéciale russe, 347 avions ont été touchés et détruits, dont la plupart sont des avions de combat.
Source : avia-pro.net
3- L’Occident force Zelensky à attaquer
Le plan du général Sergey Surovikin visant à mettre hors service les infrastructures critiques de l’Ukraine commence à montrer son efficacité. L’algorithme suivi par les Russes dans l’exécution de ce plan a fait que les armes fournies par l’OTAN sont restées bloquées dans les régions frontalières de l’Ukraine. Et leurs sites de stockage sont frappés quotidiennement par des missiles russes.
1. L’OTAN a compris que Surovikin a pris l’initiative stratégique et s’il parvient à conserver cette initiative, quelle que soit la quantité d’armes modernes que l’Occident enverra en Ukraine, elles n’atteindront jamais la ligne de front.
2. Sur le front, les Russes font un usage intensif de l’aviation tactique, de l’artillerie et des MLRS, infligeant à l’armée ukrainienne de lourdes pertes en technologie de combat. Des pertes qui ne peuvent être remplacées par l’Occident. Chaque jour qui passe, l’armée ukrainienne perd de plus en plus de sa force de frappe. En effet, l’absence d’appui-feu cloue les unités ukrainiennes, essentiellement composées d’infanterie et de réservistes, dans des tranchées et des fortifications. Une fois sorties de ces fortifications, les compagnies d’assaut ukrainiennes se retrouvent seules, et leurs contre-attaques et tentatives d’infiltration se soldent par de lourdes pertes et un retour à leurs anciennes positions.
3. Outre les missiles de croisière, les Russes lancent également des drones cibles tels que le E95M, doté d’un réflecteur polyédrique qui imite le signal radar des missiles de croisière, dans les régions de Kharkov, Donetsk, Zaporozhe, Dnepropetrovsk, Kherson et Nikolayev. Il s’agit de « leurres » pour les batteries de missiles AA ukrainiennes déployées dans ces zones. Ils sont ainsi en mesure de les localiser et d’en frapper un nombre croissant. L’objectif de Surovikin est de créer des voies sécurisées pour les avions russes dans toutes ces régions dans un délai de 30 à 45 jours.
4. La population urbaine ukrainienne commence à ressentir pleinement l’impact de l’absence de conditions de vie minimales et ne se réjouit plus des déclarations triomphalistes de l’administration de Kiev. Bien qu’ils ne se rebellent pas encore, certains signes indiquent qu’un changement de mentalité des Ukrainiens est sur le point de se produire.
5. Zelensky a également commencé à perdre le soutien extérieur dont il bénéficiait au début de l’opération spéciale. Cela a été démontré par le refus de la FIFA et du Qatar de permettre à Zelensky de faire son discours habituel avant le début de la finale de la Coupe du monde.
Pour toutes ces raisons, les généraux de l’OTAN pressent l’Ukraine d’attaquer maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. Même si cela signifie la perte de 30 000 à 50 000 soldats ukrainiens. Si l’Ukraine ne le fait pas d’ici le 31 décembre, en janvier 2023, elle sera tellement affaiblie qu’elle ne pourra même plus tenir ses lignes défensives actuelles.
Valentin Vasilescu
Source : Réseau International
4- Volodymyr Zelensky et l’ethnopolitique
Le président Zelensky vient d’être désigné par la revue Time « homme politique de l’année 2022 ». C’est ne pas avoir réalisé son coup de force de juillet, à la faveur de la guerre. Il a fait interdire tous les partis politiques qui s’opposaient à lui ; assassiner les personnalités qui lui résistaient ; contrôler tous les médias, écrits, audiovisuels et internet ; interdire la langue russe ; détruire 100 millions de livres ; confisquer de nombreux biens des oligarques, y compris de celui qui l’a personnellement financé ; nationaliser les biens des investisseurs et sociétés russes ; et enfin interdit l’Église orthodoxe.
Ce faisant, il se conforme à l’objectif énoncé en 1996 dans la Constitution (art. 16) par les « nationalistes intégraux » : « préserver le patrimoine génétique du peuple ukrainien » (sic). C’est l’ethnopolitique, c’est-à-dire une politique reconnaissant les droits des individus, mais fondée sur l’ethnie ukrainienne.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été désigné par Time Magazine comme la « Personne de l’année 2022 » ; un choix évident, selon la rédaction de l’hebdomadaire. En effet, il incarne un courage contagieux qui a permis à son peuple de résister face à la Russie.
Pourtant, dans son pays, le pouvoir est progressivement passé, depuis le 25 juillet, de ses mains à celles de son vice-président au Conseil national de Sécurité et de Défense, Oleksiy Danilov. Zelensky se concentrant sur sa fonction de porte-parole, il laisse Danilov préparer les décrets qu’il signe.
Le 17 et le 25 juillet, trois membres du Conseil ont été limogés pour de nombreux faits de trahison rapportés par les fonctionnaires sous leurs ordres :
le diplomate Ruslan Demchenko,
l’ami d’enfance de Zelensky et du chef du service de sécurité, le SBU, Ivan Bakanov,
et l’ancienne conseillère juridique de Zelensky et procureure générale d’Ukraine, Irina Venediktova.
Parlant de ces jours cruciaux, Rinat Akhmetov, l’homme le plus riche d’Ukraine avant la guerre, a déclaré que Zelensky s’était emparé du pouvoir, de tous les pouvoirs, sous couvert de réforme.
Le 26 août sur la chaîne NTA, Oleksiy Danilov a révélé que le Conseil de sécurité et de Défense avait adopté un plan de défense du pays en novembre 2021, c’est-à-dire quatre mois avant l’intervention militaire russe. Ce document était préparé depuis que Zelensky avait rejeté le plan d’un Minsk-3 proposé par Paris, les 8 et 9 décembre 2019. « C’est un énorme document fondamental qui énonce les activités de tous les corps sans exception : qui et comment doit agir dans une situation de loi martiale » a-t-il précisé, le 7 septembre à Left Bank.
ASSASSINER LES OPPOSANTS POLITIQUES
Les assassinats politiques sont en général le fait des « nationalistes intégraux » et non pas des organes gouvernementaux. À tout moment, ils peuvent enlever et faire disparaître, voire exécuter directement dans la rue aux yeux de tous, les opposants politiques. Les victimes sont d’abord des journalistes et des élus. Il ne s’agit pas d’un fonctionnement nouveau puisque ces meurtres ont rythmé la guerre civile depuis 2014.
INTERDIRE LA LANGUE RUSSE
Alors que, selon les Accords de Minsk II du 12 février 2015, les régions du Donbass devaient pouvoir déterminer elles-mêmes leur langue officielle, Oleksiy Danilov a déclaré, le 1er septembre 2022 : « Ce sont eux [les habitants du Donbass] qui doivent trouver une langue commune avec nous, pas nous avec eux. Nous avons des frontières, et si quelqu’un n’est pas satisfait des lois et des règles qui s’appliquent sur le territoire de notre pays, nous ne retenons personne ».
CONTRÔLER DES MÉDIAS
Oleksiy Danilov, a déclaré le 20 juillet, en pleine crise du Conseil de Sécurité et de Défense, que de nombreuses personnes que l’on avait l’habitude de voir à la télévision avant la guerre, n’y apparaissent plus. « On ne sait pas où elles sont passées. Le SBU fera des déclarations fortes à leur sujet ». Il les a accusées de rendre compte du point de vue russe : « Implanter ces récits russes ici est une chose très, très dangereuse. Apparemment, nous devrions comprendre ce qu’ils sont. Regardez : nous n’avons pas besoin d’eux. Laissez-les nous quitter, laissez-les aller dans leurs marécages et croasser dans leur langue russe ».
DÉTRUIRE 100 MILLIONS DE LIVRES RUSSES
L’Institut du livre ukrainien, qui supervise toutes les bibliothèques publiques, a été chargé, le 19 mai, c’est-à-dire avant la crise du Conseil de Sécurité et de Défense, de détruire 100 millions d’ouvrages.
INTERDIRE DES PARTIS POLITIQUES
Les 12 partis politiques d’opposition ont été interdits, un à un. Le dernier en date a été sanctionné le 22 octobre. Leurs élus ont été démis de leurs fonctions.
Seul l’oblast de Transcarpathie (proche de la Hongrie) refuse de démettre les élus locaux issus des partis politiques interdits.
CONFISQUER LES BIENS DES OPPOSANTS ET DES RUSSES
Depuis fin février, l’Agence ukrainienne de recherche et de gestion des avoirs (ARMA), l’organe de la lutte anti-corruption voulu par l’Union européenne, a saisi des biens d’une valeur de plus de 1,5 milliard de hryvnias, soit 41 millions de dollars.
INTERDIRE L’ÉGLISE ORTHODOXE
Le Conseil de Sécurité nationale et de Défense ukrainien a décidé, le 1er décembre 2022, d’« interdire aux organisations religieuses affiliées à des centres d’influence de la Fédération de Russie d’opérer en Ukraine », a annoncé le président Zelensky en signant le décret 820/2022.
COUPER TOUTES LES RELATIONS AVEC LA RUSSIE
Le 4 octobre, le président Zelensky a signé un décret interdisant toute nouvelle négociation avec la Russie.
par Thierry Meyssan
Source : voltairenet
5- Le président « humilie la France en permanence »
« Hors-jeu », « consternant » : Macron taclé de toutes parts pour son comportement auprès des Bleus
L’oppositions n'ont pas été avares en cartons jaunes en commentant les images d'Emmanuel Macron tentant de réconforter Kylian Mbappé, d'abord sur la pelouse, puis sur le podium, après la finale de Coupe du monde perdue contre l'Argentine au Qatar le 18 décembre. Son discours devant une équipe de France rentrée au vestiaire, durant lequel il a remercié les joueurs pour leur parcours et pour « avoir fait rêver des millions de Français », a aussi été sifflé de tous côtés.
« Il ne faut pas politiser le sport », a ironisé sur Twitter l'insoumis Manuel Bompard, moquant la phrase prononcée au début du Mondial par Emmanuel Macron lui-même. L'écologiste Benjamin Lucas a quant à lui attribué au président le titre « de champion du monde de la gêne », à la suite de Sandrine Rousseau qui a évoqué la « gênance » des comportements présidentiels.
Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a pour sa part partagé un article du magazine So Foot intitulé « Macron, hors-jeu sur toute la ligne », en qualifiant le soutien d'Emmanuel Macron d’« inopportun et malaisant ».
« C’était un peu consternant de le voir hier s'accrocher comme un crampon à Mbappé », a ironisé le député du Rassemblement national Sébastien Chenu sur LCI, en déplorant une attitude « totalement ridicule » du chef de l'Etat selon lui.
« Trop, mal, insupportable, indécent… », a fustigé le journaliste Didier Maïsto à propos de l'accolade et du discours présidentiels. Il n'a pas mâché ses mots en qualifiant Emmanuel Macron d' « adolescent attardé et [de] pervers narcissique » qui ne représente selon lui « absolument pas la France », tout en notant que le peuple « a perdu sa capacité de discernement » puisqu'il a réélu le locataire de l'Elysée.
Pour l'économiste souverainiste Philippe Murer, qui a relayé la vidéo de l'intervention présidentielle face aux joueurs, Emmanuel Macron a procédé à une « récupération politicienne du sport » et adopté un comportement « déplacé et indigne d’un président de la République ».
« Macron le "m'as-tu-vu"! », a également cinglé l'eurodéputé Reconquête Gilbert Collard.
« Macron a été unanimement considéré comme gênant, lourdingue, pas à sa place et grotesque », a résumé le souverainiste Florian Philippot, affirmant que le président « humilie la France en permanence ». « Qu’il s’en aille ! Oust ! », a-t-il réclamé.
A l'issue du match, le chef de l’Etat a également félicité l’Argentine pour sa victoire, et a indiqué souhaiter que Didier Deschamps reste le sélectionneur de l'équipe de France. « Je lui ai dit qu’il fallait qu’il poursuive », a-t-il confié aux journalistes.
Source : RT